Passionné de dessin, d’arts martiaux, de culture japonaise, de motos Harley Davidson et de tatouage. Son désir le plus cher ? Devenir tatoueur « japonais ».
En 1974, Bruno de Pigalle, à Paris lui pique son premier tattoo.
En 1996 il part au Japon assouvir sa soif d’apprendre. Il rencontre HORIYOSHI Ш, qui pratiquera son art sur lui et Goro SAKAMOTO HORIJIN qui deviendra son «Senseï» c'est-à-dire son maître. Aujourd’hui, il est membre du Tatoo Club of Japan.
Féru de livres, il a constitué une bibliothèque d’ouvrages sur la culture du tatouage qu’il considère comme un trésor, des livres auxquels il tient comme à la prunelle de ses yeux. Pour lui, le tatouage va bien au-delà de l’acte de tatouer.
Il fait aussi un peu de tatouage dit «alimentaire », mais il le précise, uniquement sur des personnes qui mettent du cœur dans leur démarche. Il refuse ce qu’il nomme le «tattoo conso», autrement dit les personnes qui viennent se faire tatouer comme s’il consommait un service. Pour lui le tatouage est une démarche spirituelle.
Alors si vous voulez découvrir ce tatoueur français spécialiste du tatouage japonais traditionnel, n’hésitez pas, surfez sur son site http://horisei.bernard-soufflet.com/
Photos by Tarik Marecar
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