Retour au Cantal Wheels 2017
En 2017, le Cantal Ink a troqué ses trois dernières lettres pour un événement dédié à l’univers des deux-roues et à la custom culture avec le Cantal Wheels. Résumé en images.
Cantal Wheels : une ode à la custom culture
Vous connaissiez le Cantal Ink pour ses tatoueurs venus d’Europe, d’Amérique et d’ailleurs, pour ses concerts et pour ses animations pour petits et grands. Désormais, la partition jouée par notre équipe s’est enrichie d’une nouvelle gamme : le Cantal Wheels. Evénement dans l’événement, le Cantal Wheels a réussi le pari fou d’attirer dans un petit village auvergnat la crème de la custom culture.
Parfois orthographié kustom kulture, le mouvement puise ses origines outre-Atlantique. Traduisible par culture personnalisée, il permet aux professionnels et simples amateurs de deux-roues d’apporter trouvailles et idées qui vont ensuite se diffuser au sein de la communauté moto. Riche d’une dimension tout à la fois culturelle et esthétique, la custom culture désigne autant un style de vie et une façon de s’habiller qu’une manière de personnaliser son véhicule.
La prestigieuse maison Esteves Motorcycles Design au guidon
C’est à cet univers que le Cantal Ink a déclaré sa flamme les 1er et 2 juillet 2017, à l’occasion de sa 5ème édition. Pour orchestrer cette nouvelle page de notre histoire, trois hommes ont donné le meilleur d’eux-mêmes : deux Nicolas, ambassadeurs d’Esteves Motorcycles Design, et un Gus.
La place du Marché de Chaudes-Aigues en roue libre
Le trio a réalisé la prouesse d’attirer – malgré les averses qui, bien heureusement, ont rapidement laissé place au beau temps – plusieurs centaines de motos et choppers venues de tout le pays, Harley-Davidson en tête. Sur la place du Marché de Chaudes-Aigues, autochtones et visiteurs ont découvert gratuitement stands et préparateurs mués par une passion commune.
Ce qu’il fallait retenir de l’événement ? Une chapelle transformée en espace d’exposition pour accueillir un biker build off, une roue de la mort spectaculaire, une wild masterclasse… et une fréquentation rarement vue dans l’histoire des Caldaguès. Cette année, la bouillonnante frénésie du Cantal Wheels a rivalisé haut la main avec la source du Par du village.
Photos : Thierry Marsilhac
