Et de 5 ! Le samedi 1er et le dimanche 2 juillet 2017, vous avez répondu présents à l’appel du tatouage et du Cantal pour le 5ème été consécutif. En 2013, année de notre première édition, nous nous demandions encore si un 2ème chapitre allait pouvoir être écrit. Aujourd’hui, le constat nous touche au plus profond de notre cœur : voilà une demi-décennie que vous nous accordez, toujours plus nombreux, votre confiance.
Dès le vendredi, soirée d’inauguration du Festival du Tatouage 2017, les plus courageux d’entre vous ont bravé les averses qui ont déferlé sur Chaudes-Aigues après plusieurs jours de canicule. Ceux-là ont été dûment récompensés le samedi, où les tombées de pluie se sont faites plus éparses, et le dimanche, où (presque) pas une goutte n’est tombée sur le village. Le bourdonnement des machines à tatouer aurait-il dissipé les nuages ?
Comme chaque année, je tiens à adresser mes plus chaleureux remerciements à toutes celles et tous ceux sans qui ce 5ème volet de notre histoire n’aurait pu voir le jour : mon épouse Cécile et, avec elle, ma famille, nos techniciens et nos bénévoles, le personnel de sécurité et les forces de l’ordre et autorités, pompiers inclus, nos tatoueurs – certains sont venus de très loin pour participer à l’aventure –, nos musiciens, nos artistes, nos exposants et, bien sûr, vous, les festivaliers, les novices comme les fidèles parmi les fidèles.
Je tiens aussi à remercier tout particulièrement les Amis du Festival, ces commerçants et professionnels de Chaudes-Aigues et ses environs qui, tous à leur manière, ont mis la main à la patte pour permettre au Cantal Ink 2017 d’exister. Leur soutien a été essentiel.
Enfin, je veux remercier tout particulièrement certaines personnalités d’avoir répondu positivement à notre invitation, pour la première fois ou plus. Merci à Monsieur Bruno, premier tatoueur de France, de s’être déplacé une fois de plus à Chaudes-Aigues pour remettre le trophée du Chaudesaigues Award ; merci à Hannah Aitchison d’avoir fait le voyage de Pittsburgh au Cantal pour le 4ème été consécutif ; merci à Pascal Tourain, indétrônable et infatigable chef d’orchestre de notre grande symphonie auvergnate ; merci, enfin, au monstre sacré du tattoo américain Joshua Carlton d’avoir choisi un petit village de moins de 1 000 habitants pour son tout premier périple hors du continent américain.
Portez-vous bien et à très bientôt pour un 6ème épisode ?
Stéphane Chaudesaigues
Président du Cantal Ink