"Toujours plus de monde", témoigne La Montagne, "mais toujours pas d’équilibre financier pour le Festival du Tatouage Cantal Ink, après cinq éditions. Face à ce constat, et au manque de soutien public, Stéphane Chaudesaigues s’interroge pour la suite". Un paradoxe expliqué avec justesse par Yann Bayssat, à lire dans son intégralité ici :
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