La madrilène, Laura Juan, excelle dans le réalisme. Ne tardez pas à la contacter pour vous faire tatouer par elle, pendant le FESTIVAL DU TATOUAGE DE CHAUDES-AIGUES.
Ses portraits, en bistre, gris ou couleur expriment la vie.
Lorsque l’on regarde ses tatouages, ils semblent nous sourire et nous parler. Ils sont doux comme la soie.
Cette passionnée de dessin et de peinture, pratique ces deux arts depuis l’âge de 9 ans.
Elle a réalisé des portraits de femmes dont, certaines, en tenue du XVIIIe siècle, d’autres à tête de rapace, ou encore, années 60, cigarette à la bouche.
Il y a un peu plus de 15 ans, Laura a découvert le tatouage qui lui a ouvert de nouveaux horizons.
A 20 ans, elle a commencé sa carrière de tatoueur à Madrid, à une époque où, comme elle l’évoque «internet balbutiait et le tatouage n’était pas reconnu comme un art».
Les choses ont bien changé. Le tatouage est devenu de plus en plus artistique, les échanges avec les autres tatoueurs se sont multipliés, comme avec Robert Hernandez. Laura a développé, seule, son propre style, avec un penchant très net pour le réalisme.
Elle a acquis une grande maitrise de la perspective qui donne un relief extraordinaire à ses tatouages, comme ce chien assis tatoué sur un bras et qui parait vivant, prêt à se lever pour suivre son maitre.
Ou bien encore ce visage de femme vampire qui semble mordre l’avant-bras même, sur lequel elle est tatouée.
Elle profite aussi de son expérience de peintre pour tatouer des oeuvres picturales comme cet oiseau, une aquarelle de Dean Crouser.