Un après-midi dans l’antre de Mimi Von Pink

Installée depuis 2009 à Aurillac (précédemment rue Baldey roux), la Stéphanoise qui était professeur d’arts plastiques au Puy-en-Velay, a, aujourd’hui, son carnet de commande complet jusqu’au mois de février.

Chaudes-Aigues, La voix du Cantal Jeudi 4 juillet 2013

Un festival qui va faire couler beaucoup d’encre.

« C’est un nouveau sésame pour le tatouage français de venir mettre un pied dans les campagnes »

Mimi désinfecte sa zone de travail et jette les ustensiles.

Locale de l’étape, elle sera évidemment présente à Chaudes-Aigues ce week-end : « Je suis une habituée des conventions j’essaie d’en faire une par mois. Ce week-end j’ai une cuisse à tatouer le samedi, deux le dimanche. Ce festival est vraiment une chance pour la région.

Pour démocratiser le tattoo même si c’est déjà̀ bien avancé. C’est un nouveau sésame pour le tatouage français de venir mettre un pied dans les campagnes. Il y aura des grands et c’est une chance de pouvoir les approcher, de toucher du doigt leur travail. J’apprends toujours en observant les autres. Pour certains j’en suis fan et leur travail remet les pieds sur terre. »