Pour sa deuxième édition, c’est au tour de l’Italien Matteo Pasqualin d’être ainsi distingué par le prestigieux prix.
Une belle récompense qui couronne le parcours sans faute d’un petit gars originaire d’un minuscule village non loin de Venise et dont la vocation première était de devenir électricien.
Son amour du dessin se développe très tôt « J’adore dessiner depuis que je suis enfant, sans doute parce que mon père était peintre amateur.
Steven Chaudesaigues, Matteo Pasqualin et Stéphane Chaudesaigues, pour la remise du Chaudesaigues-Award 2013 à Naples.
« J’ai toujours eu une fascination pour les photos en noir et blanc. J’essayais de les reproduire au crayon en y mettant le plus de détails possible.
Je ne sais pas s’il s’agit d’un style en soit, mais j’aime fignoler les détails de mes pièces, même si je dois y passer un temps fou. Ce qui me plait le plus quand je travaille sur du noir et gris, c’est de m’appliquer sur les contrastes ».