Ses tatouages laissent la peau apparaître, car pour elle ces espaces vides sont aussi importants que les silences dans la musique. Elle travaille avec de différentes textures, particulièrement des points et des lignes, puisqu’elle pense qu’ils suffisent largement pour exprimer le monde.
La nature et les objets qui l’entourent sont ses modèles préférés, ainsi que l’histoire de l’art –dès gravures de Goya au design de la Bauhaus.
Après de longs séjours et voyages, elle a rejoint en 2015 l’équipe de La Machine Infernale à Lille.