À quoi ressemblait Chaudes-Aigues avant le Cantal Ink ? Jean-Luc Feuillet nous livre une réponse étoffée et en images : l’homme a collecté près de 150 cartes postales d’antan, présentant le village de jadis… bien avant que les dermographes n’y fassent entendre leurs bourdonnements.
Le Cantal Ink s’inscrit dans une histoire riche : celle d’un petit coin d’une région montagneuse déjà connu des Romains, séduits dès l’Antiquité par sa source d’eau bouillante. Des invasions barbares n’ayant laissé que des ruines à la construction du château de Couffour, achevée au 16ème siècle, Chaudes-Aigues a traversé les siècles et assis sa réputation de ville unique dans le paysage auvergnat.
C’est à un voyage à travers l’Histoire contemporaine de Chaudes-Aigues que nous convient ces cartes postales et, avec elle, à un héritage plus ancien encore. Une tradition faite tous azimuts de soldats, de cyclistes, de mères et de leurs enfants, de chiens dans les rues, d’adolescents en culottes courtes et de saisons qui passent. Aujourd’hui, le Festival International du Tatouage est plus que jamais fier d’écrire une nouvelle page de ce romain français.